Sommaire
De quoi parle-t-on ?
Les signaux faibles constituent un faisceau d’indices qui témoignent d’un épuisement physique ou psychologique du salarié.
En quoi c’est important ?
Repérer le plus en amont possible ces petits signes permet d’identifier les situations à risque et d’apporter une réponse adaptée avant que la situation du salarié ne se dégrade.
Comment faire ?
Le schéma ci-après illustre les 2 niveaux d’attention principaux sur lesquels il faut être attentif. Les signaux évoluent de façon graduée et doivent vous amener à une réponse adaptée.
Leur description vous est ici présentée en fonction de leur niveau de gravité et sans jugement. A des fins de compréhension, les situations évoquent volontairement un comportement extrême, voire caricatural.
Il convient de ne pas oublier que ces signaux sont à observer dans la durée : ils doivent intervenir à fréquence régulière et dans un laps de temps suffisant (plusieurs semaines à quelques mois) pour être significatifs.
Niveau 1 : Alerte
Votre collègue peut moins s’impliquer dans la vie de l’équipe : moins d’initiative, prise de parole réduite en réunion… | Votre collègue peut être plus lent dans son activité et demander sans cesse des avis aux autres membres de l’équipe | Votre collègue peut commettre des erreurs grossières, perdre confiance et commencer à augmenter son amplitude |
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Cette situation peut venir déséquilibrer le travail d’équipe
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Niveau 2 : Alarme
Votre collègue peut éviter les situations de vie informelle : il peut manger seul, n’être jamais libre, rester silencieux… | Votre collègue peut éviter les situations de vie informelle : il peut manger seul, n’être jamais libre, rester silencieux | Votre collègue peut s’opposer de plus en plus frontalement à la hiérarchie et peut ne pas hésiter à faire porter le chapeau à l’équipe |
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